On en a marre des excuses culturelles. Dire à une femme qu’elle a un "gros cul" dans la rue, au travail, ou même dans un cadre social sans son consentement, ce n’est pas un compliment. C’est une intrusion, une agression verbale. Point final.
Ce que certains hommes appellent "flirt" ou "humour", les femmes le vivent comme une humiliation quotidienne. Ce n’est pas parce qu’on vient d’un quartier populaire ou d’une culture où les formes sont célébrées qu’on a le droit de sexualiser les femmes à chaque coin de rue.
Et ne venez pas dire que vous ne saviez pas. Ce mensonge-là, on le connaît par cœur. Vous savez que c’est déplacé. Vous voyez bien les silences gênés, les regards fuyants, les sourires crispés. Vous savez, mais vous le faites quand même — parce que pendant trop longtemps, on vous a laissé faire.
Le vrai problème, c’est la banalisation. Certains pensent encore que ce genre de phrase est flatteuse. Mais non, ce n’est pas flatteur, c’est lourd. C’est une façon de réduire une femme à ses fesses, comme si son corps était un bien public à commenter, juger, consommer.
Respecter une femme, ce n’est pas lui faire des remarques sur son corps sans qu’elle l’ait demandé. Ce n’est pas difficile à comprendre. Ce qu’il vous manque, ce n’est pas une leçon de séduction, c’est une éducation au respect.
Alors non, ce n’est pas "juste une phrase". C’est une habitude toxique. C’est du harcèlement. Et ça doit cesser.
Jessica Van Halen
men lajè bounda fanm ayisyèn.
RépondreSupprimerayisyen pa respekte moun vre 😂😂😂😂😂😂
RépondreSupprimerfanm ayisyèn renmen lè yo di yo sa
Big ass. We love that ❣️😍
RépondreSupprimerJan Ayisyen renmen fanm gwo bouda
RépondreSupprimerNèkrisboulit ou. Manzè gen bounda wi 👊👊👊
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