Donald Trump a inauguré le 1er juillet 2025 un centre de détention pour migrants baptisé « Alligator Alcatraz ». Situé en plein cœur des Everglades, en Floride, ce centre est un ancien aérodrome reconverti, désormais entouré de clôtures, de marécages infestés d’alligators, et de systèmes de surveillance sophistiqués. L’administration Trump le présente comme une solution « radicale mais efficace » pour dissuader les traversées illégales à la frontière sud des États-Unis.
Lors de la conférence de presse d'inauguration, Donald Trump est apparu hilare. Il s’est ouvertement moqué des migrants, allant jusqu’à dire qu’ils allaient devoir « apprendre à courir en zigzag pour échapper aux alligators ». Le président, fidèle à son style provocateur, a même qualifié ces animaux de « gardes gratuits », transformant un sujet grave en véritable spectacle médiatique. Ces propos ont immédiatement suscité l’indignation des défenseurs des droits humains.
Plusieurs organisations, dont Amnesty International et Human Rights Watch, ont dénoncé la création de ce centre comme une violation des droits fondamentaux. Elles pointent un traitement inhumain infligé à des personnes en quête d’asile, souvent déjà traumatisées. Les conditions de détention prévues, combinées à l’environnement hostile, sont perçues comme un acte d’intimidation et une déshumanisation assumée des migrants.
Par ailleurs, les peuples autochtones Miccosukee et Seminole ont déposé un recours en justice. Ils accusent l’administration de détruire un écosystème fragile et sacré sans leur consentement. En l'absence d’étude d’impact environnemental, plusieurs voix s’élèvent pour demander la suspension immédiate du projet. L’implantation du centre menace également la faune locale et pourrait engendrer un désastre écologique à moyen terme.
Sur le plan politique, cette initiative s’inscrit dans une stratégie électorale clairement assumée. Trump cherche à renforcer sa base conservatrice en misant sur une rhétorique dure contre l’immigration, qu’il qualifie de « menace existentielle ». Cette ligne radicale séduit certains électeurs, mais alarme une partie croissante de la société civile et de l’opposition, qui y voit un basculement vers des méthodes autoritaires.
En somme, « Alligator Alcatraz » devient un symbole des dérives d’une politique migratoire brutale, instrumentalisée à des fins électorales. Alors que les États-Unis se débattent avec des crises sociales et institutionnelles profondes, cette prison-marécage représente à la fois une provocation, une stratégie de communication et un avertissement. L’histoire jugera si cette escalade répressive marque un tournant durable ou une rupture passagère dans la gouvernance américaine.
Timofei Egorovitch Pravdine
Wouy, gadon Amerika bondye
RépondreSupprimermen péyi béni nan ddada nou
RépondreSupprimer4 années sa yo ap long wi nan paradi a 😂😂
RépondreSupprimerSa pa ladann 😱
RépondreSupprimerLafen dimonn gen pou li rive kanmenm pase lèzòm mechan twòp 😭
RépondreSupprimerGadon kout pik
RépondreSupprimerKing 👑 Donald Trump 🙏
RépondreSupprimerÈskew wè de koze
RépondreSupprimerTijan tap chèche Tijan twouve 😭😭
RépondreSupprimerVive Donald TRUMP 👊👊👊🇺🇲
RépondreSupprimerMake America Great again 🇺🇲👑
RépondreSupprimerayisyen annou pran konsyans
RépondreSupprimerGod never forget children🙏
RépondreSupprimergang ap atakew ayiti. Alligator ap manjew USA. Hmmmmm 🫢
RépondreSupprimerm pap kapab non 😭😭😭😭😭
RépondreSupprimertrump sert son pays avec honneur.c'est dommage pour les migrants
RépondreSupprimerayisyen, mettons nous debout et reconstruisons Haiti 🇭🇹✋
RépondreSupprimer