Depuis trop longtemps, les Haïtiens cherchent ailleurs ce qu’ils refusent de construire chez eux. Chaque crise devient un prétexte pour fuir, chaque chaos une occasion d’abandonner le navire. Pourtant, aucun peuple ne peut se libérer sans amour profond pour sa terre.
Les États-Unis, pays d’accueil pour beaucoup, ne sont pas un refuge éternel. Les discours et les actions de Donald Trump l’ont montré : pour lui, les migrants haïtiens ne sont pas des survivants, mais une gêne. Il ne voit pas des êtres humains, mais un problème à contenir, voire à expulser.
Alors, à ceux qui rêvent d’un ailleurs sans construire l’ici : méfiez-vous. Un jour viendra où les portes se refermeront. Et ceux qui n’ont pas voulu bâtir Haïti seront contraints d’y revenir, non par choix, mais par rejet.
« Aimez votre pays, sinon Trump vous y forcera » : ce n’est pas une menace, c’est un constat brutal. Car lorsqu’on ne prend pas soin de sa patrie, ce sont les autres qui nous rappellent à notre réalité, souvent sans compassion.
Haïti mérite mieux que la fuite. Elle mérite des citoyens debout, conscients, fiers. Elle mérite qu’on se batte pour l’éducation, la justice, l’ordre public, la souveraineté. Elle mérite l’amour, pas l’oubli.
Il est temps d’aimer Haïti non par peur d’être rejetés ailleurs, mais par volonté de vivre dignement ici. Ce n’est qu’à cette condition que nous pourrons relever la tête, en tant que peuple libre et respecté.
Jameson LEOPOLD
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Se pi bèl atik ki pibliye isi a wi 😂M avèk yon patnèm la se pa de ri lap ri non. Donald Trump dwe fè 100 lane sou pouvwa 🇺🇲
RépondreSupprimeratik tripè wi. PDG se trip wap trip wi sou ayisyen yo. Se kòmsi ou di Donald Trump plis renmen ayiti pase ayisyen😅
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